[C]On écout’ra chanter les oi[G7]seaux
[G]allongés au bord du rui[C]sseau.
La nuit connaîtra notre é[G7]veil
[G]nos corps encore gorgés d’so[C]leil.
[F]Tes yeux reflét’rons les é[C]toiles,
[G7]embuant les miens comme d’un [C]voile.
[F]Nos lèvres échangeront des sou[C]pirs
[G7]attisant le feu du dé[C]sir.
Refrain
[C7]Quand tu m’revien[F]dras
[G7]de [G]tout là-[C]bas,
[C7]belle comme le [F]jour,
[G7]belle [G]comme l’a[C]mour.
[C]Nous oublierons tout ce pa[G7]ssé,
[G]ces horreurs, ces atroci[C]tés.
Les mots si durs de la co[G7]lère.
[G]A quoi bon rev’nir en a[C]rrière ?
[F]Nous vivrons le bonheur de l’ins[C]tant
[G7]cachés comme seuls vivent les a[C]mants.
[F]Sans autre projet que de s’ai[C]mer
[G7]dans un espoir d’éterni[C]té.
Au refrain